Comment traiter les eaux usées de N-méthylpyrrolidone ?

2022-05-10

N-méthylpyrrolidoneles eaux usées seront produites dans la production de cathodes de batteries au lithium, la synthèse de N-méthylpyrrolidone et le traitement et le recyclage de N-méthylpyrrolidone. Ce type d'eaux usées industrielles présente également les caractéristiques d'une composition complexe, d'une faible biodégradabilité et d'une concentration élevée en raison de son processus de production.


Les eaux usées à haute concentration auront inévitablement un certain impact sur le système biochimique, de sorte qu'il y a des problèmes dans le traitement biochimique, entraînant le phénomène selon lequel l'effluent des eaux usées de N-méthylpyrrolidone ne répond pas à la norme. Dans notreN-méthylpyrrolidoneprojet de traitement des eaux usées, nous réduirons les polluants DCO et réduirons également l'azote ammoniacal dans les eaux usées, afin de respecter de manière stable la norme de rejet.

N-methylpyrrolidone

Avant d'utiliser un traitement biochimique, il est nécessaire d'améliorer la biodégradabilité desN-méthylpyrrolidoneles eaux usées et réduire la concentration des polluants des eaux usées, y compris le dispositif d'oxydation Fenton et le dispositif de chloration au point critique.


Méthode d'oxydation Fenton, ajoutant du peroxyde d'hydrogène et du sulfate ferrique au dispositif d'oxydation Fenton pour l'oxydation Fenton. Le principe est d'utiliser les radicaux hydroxyles générés dans le processus de réaction pour oxyder la matière organique des eaux usées, casser les macromolécules en petites molécules et les dégrader en même temps. Matières organiques réfractaires dans les eaux usées de N-méthylpyrrolidone.


La méthode de chloration au point critique est un processus de dénitrification chimique dans lequel l'azote ammoniacal est éliminé en mettant de l'hypochlorite de sodium dans leN-méthylpyrrolidonedes eaux usées, et oxyder l'azote ammoniacal dans les eaux usées de N-méthylpyrrolidone en N2.


Les principaux traitements biochimiques sont les méthodes UASB, A/O et MBR. La concentration réelle de DCO de l'effluent peut répondre à la norme de rejet et la concentration de DCO est inférieure à 60 mg/L.


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